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| | Raziel Jr [Fiche terminée] | |
| | Auteur | Message |
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![Raziel Jr [Fiche terminée] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) | | Mer 11 Sep - 12:13:05 | |
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Présentation du Personnage
- Nom : Unilaseth
- Prénom : Raziel Jr
- Surnom : /
- Sexe: H
- Âge : La trentaine.
Plus en détails
- Monde : Moncoohn.
- Camp: Armée
- Rang : III (Capitaine d'infanterie)
Descriptions
- Description Physique :
Corpulence (Taille et poids compris) : La première chose à savoir chez moi, c’est que je suis grand. Très grand. Affreusement grand même. Ma taille oscille entre les cent quatre-vingt-dix, deux cent centimètres, mais je ne saurais vous en dire plus vu que j’ai arrêté de me mesurer il y a belle lurette maintenant. Ce nombre déjà considérable fait de moi un pseudo géant aux yeux de mes semblables. En effet, le commun des mortels ne peut s’empêcher de lever la tête vers la voûte céleste pour m’observer sous toutes mes coutures. Autant dire que des regards, j’en attire énormément. Mais il n’y a pas que ma taille qui impressionne. Il y a aussi mon poids qui avoisine les cent kilos et des poussières. Montagne ambulante de muscles assez saillants, on pourrait presque me qualifier de titan, malabar, colosse et j’en passe… C’est vous dire que je suis loin d’être un gringalet. Assimilable à une vraie forteresse, j’impose naturellement le respect par le charisme certain que dégage ma stature imposante. Bien que parfois, j’ai quelques fois eu à déplorer cet immense physique, moi qui ne puis facilement passer inaperçu lors de mes petites promenades…
Visage/chevelure : Il est vrai que je puisse engendrer appréhension rien qu’à la vue de mon gabarit, mais cette peur là s’estompe complètement une fois mon faciès à découvert. Celui-ci est doux et toujours éclairci d’un beau sourire à en faire rougir moult donzelles. Ma face est globalement ovale. Un petit peu allongée vers la mâchoire, mais ovale en somme. L’ensemble donne un visage beaucoup plus long que large. Il présente également de belles fossettes qui, mis en relief par un beau sourire, me donnent un air charmant et tranquille. Les traits de mon visage à l’exception de mon nez mutin sont fins, comme s’ils avaient été sculptés par une main assez habile et experte. La preuve en est que j’ai une petite bouche discrète, parfois rehaussée par la barbe des trois jours que j’ai l’habitude de laisser pousser par pure fainéantise, parfois. Ma chevelure quand à elle, n’a rien d’enviable. C’est même un véritable champ de bataille. Elle est généralement ébouriffée et dressée en pics. Mais pour un souci de présentation, il m’arrivera de temps en temps de les enduire de défrisant pour les rendre lisses et donc impeccables. Ajoutons à tout cela que ma crinière est d’une belle teinte blonde.
Esthétique vestimentaire : Mon code vestimentaire reflète clairement les états d’âmes dans lesquels je peux être baigné la plupart du temps. Une couleur agressive aux yeux d’autrui montrera que je suis débordant d’énergie (C’qui est plutôt rare) ; contrairement à une couleur assez sombre qui indiquera que je traverse une mauvaise passe ou que je suis de très mauvaise humeur (Ce qui est courant, avec moi). C’est aussi simple que cela. Concernant mes goûts prononcés, j’adore les jeans. C’est un vêtement dont je ne peux quotidiennement me passer. De même que pour les bracelets en argent que j’arbore un peu à la manière d’une quelconque mijaurée des hautes sphères. J’aime aussi suivre la tendance des nouvelles ères pour ne pas paraître trop démodé et ne pas me faire trop remarquer. Le sens de l’éthique me prodigue cependant de ne pas trop en faire en public. A l’extérieur donc, un jean et une simple chemise blanche surmontée d’un manteau font mon affaire. Mais seul dans mon coin, vous m’verrez très souvent en simple boxer, torse nu, l’air complètement débraillé et paumé.
Particularités physiques : Mes yeux bleus comme les grands glaciers et le corps recouvert de cicatrices.
- Description Mentale :
Qualités : Calme. Ouais. C’est la première qualité dont je peux me vanter. En combat comme dans la vie de tous les jours, j’essaye toujours de garder la tête froide. Ça a l’art de décontenancer plusieurs personnes, ce qui m’amuse beaucoup. Je suis aussi peu intimidé par quoique ce soit. Peut-être est-ce dû à mon grand pouvoir et à mes nombreuses expériences, qui sait.
Je suis aussi pragmatique. Parler pour ne rien dire, c’est pas vraiment mon truc. Parler tout court, d’ailleurs. Plutôt que de m’exprimer avec des mots, j’agis et mes actes concrets parlent généralement pour moi. C’est ce qui fait de moi un grand homme, je pense. Trop de discours tue le discours. Une très bonne qualité apprécié au sein de l’armée, c’est vous dire.
Lorsque je le prends la parole cependant, je dois avouer être franc. Dire des choses sans détour, c’est tout moi ça. Mon ton peut-être généralement cassant avec ça, mais je peux au moins me targuer de n’être pas hypocrite. Je me retiens cependant devant mes supérieurs, mais je n’en pense pas moins parfois, et mon regard en dit long dans ce genre de cas.
Débonnaire ? Mouais, bof. Vite fait quoi. N’étant pas une machine dénuée de sentiments et d’états d’âmes, il peut m’arriver d’aider une vieille ou un gosse à traverser une rue, comme à jeter un gros billet à un mendiant, des trucs du genre. Tant que je ne suis pas plongé dans un intense combat, tout élan amical peut-être possible avec moi. Mais avec le visage ferme et serein, on s’entend. Pas de sourire qui tienne.
Défauts : Solitaire né. L’amitié, les sorties entre potes et tout ? J’connais pas. La chaleur humaine pour moi, se résume à baiser farouchement une prostitué, ni plus ni moins. Ouais ouais. Je suis peut-être différent d’un robot, mais pas tant que ça, finalement. Encore que les robots faits pour le ménage sont plus chaleureux et moins solitaires que moi. Ça en dit long, hein ?
Condescendant, arrogant et je-m’en-foutiste, je suis. Yep. C’est peut-être pas très élogieux de crier ses défauts haut et fort, mais moi ça m’gêne pas tant que ça, en fait. J’aime prendre les gens de haut. Surtout lors des combats. Ça donne un avantage psychologique. Du reste, je me fiche un peu du respect, de la bienséance, des règles et des us et coutumes, tant que je ne suis pas en face d’un supérieur ; et encore…
J’suis un gros pervers. Ouais. J’aime les putes, péripatéticiennes, prostituées, tout ce que vous voulez du genre. Mes sens sont en émoi devant une belle paire de seins ou de fesses. Me complaire dans la luxure ? Un luxe que j’aime et que je m’offre lorsque j’ai du temps. Pour changer des filles de joie parfois, il peut m’arriver d’embobiner une jeune fille banale dans un coin, avant de la faire mienne et de la jeter tout de suite après comme un vulgaire chiffon usé. Manipulateur, moi ? Si peu…
Outre le fait qu’un soldat doit protéger ses contrées natales, il doit aussi neutraliser tous ses ennemis dans la mesure du possible. Pour ma part, c’est ce que j’ai particulièrement l’habitude de faire. Traquer et neutraliser. Lorsque j’ai une cible en vue, il y a deux issus possibles : Soit elle réussit à se débarrasser de moi en me blessant grièvement ou en me tuant, soit c’est tout bonnement le contraire. Encore que je ne tue que rarement, préférant laisser cette basse besogne à mes hommes.
Ce que vous aimez : Le sexe, la tranquillité, la malbouffe, la muscu', taper les ennemis de Moncoohn, la mode.
Ce que vous détestez : L'hypocrisie, ses supérieurs et qu'on le prenne pour un moins que rien.
Particularité mentale : /
- Autre: /
Vos acquisitions pré-RP
- Technologie personnelle :
Scar a subi des implantations de nanopuces qui lui permettent de contrôler n'importe quel vecteur qu'il touche dont le mouvement, la chaleur, l'électricité. Il peut donc renvoyer n'importe quelle attaque à son adversaire, peut tordre n'importe quelle matière comme le fer ou le bras d'une personne et peut inverser la circulation du sang humain. Malheureusement, son pouvoir trop grand est limité dans le temps. Pas plus d'une heure par jour, au risque de s'exposer à de grosses migraines qui pourraient l’évanouir et le laisser à la merci de ses adversaires. Pas cool d'avoir une puce dans le cerveau.
Avis sur l'Âge dans lequel nous vivons
- Pensez-vous que la Fusion ait été une grosse erreur ?
Rien à foutre.
- La mort du Roi vous a-t-elle choqué ?
Vous voulez pas que je pleure aussi ?
- Les robots ont détruit une partie de la ville en tuant de nombreuses personnes à leur dépend, est-ce que cela a changé votre opinion les concernant ?
J'suis pas mieux qu'eux, vous savez...
- Si vous étiez le dirigeant de la ville, que changeriez et laisseriez-vous tel quel ?
Hein... ?
- Si un nouveau peuple venait à faire son apparition, quelle serait votre réaction ?
Si on doit les buter, no problem. Je suis votre homme.
- Seriez-vous prêts à vous allier avec vos ennemis pour lutter contre une seule et même menace ?
Tant qu'il y a des gens sur qui taper...
- Si vous deviez vivre chez votre ennemi pour une mission d'infiltration, comment agiriez-vous ?
Déjà, il ne vaut mieux pas me confier ce genre de missions, vous savez.
- Seriez-vous prêt à vous sacrifier au nom de votre Cité ?
Quelle question. De toute façon, je côtoie chaque jour la mort à cause de cette foutue cité, non ?
- Si l'un de vos ennemis vous menaçait, seriez-vous capable d'abattre l'un de vos amis contre votre propre survie ?
Ah bon, j'ai des amis, moi ? Première nouvelle.
- La paix serait-elle envisageable ?
Dans ce monde pourri ? No way.
Présentation du Joueur
- Prénom/Surnom : Yannick
- Âge : 20 ans tout rond !
- Niveau Rp: Moyen.
- Comment avez-vous trouvé ce forum ?: On m'a acheté avec des bonbons, des cookies et autres. Difficile de refuser. '-'
Dernière édition par Scar le Sam 14 Sep - 16:42:21, édité 2 fois |
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| | Mer 11 Sep - 12:26:24 | |
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(Cette histoire est vraiment un test pour ma part. Je l'ai fait sous forme de rp, et j'expérimente le présent à certains paragraphes. Soyez pas durs avec mwa ! =D)
L’hybride me toise. Me sourit. Arbore sa dentition effrayante et sale dont il est plutôt fier. Encore un con qui pensait que la mutation génétique était plus impressionnante que nos armes. Mes mains se rejoignent. Mes jointures craquent. Un sourire trône sur mon visage. Sourire moqueur. De quoi répondre avec arrogance à mon vis-à-vis. Dernier qui s’offusque. Qui s’énerve. Qui perd le contrôle de lui-même. Qui m’attaque. Le poing fuse alors. Il brasse l’air. Je le sens puissant. Ravageur. Un coup que j’avais pas intérêt à encaisser. Non non non. Aussi m’étais-je baissé. Rapidement et élégamment. Les yeux de mon adversaire s’écarquillent. Ses pupilles se dilatent sous la surprise. Il ne s’attendait pas à cela. Une telle esquive. Prodigieuse tout de même. Mais avant tout ahurissante, vu la rapidité avec laquelle je l’avais effectué. En dessous de l’hybride, ma main droite forme un poing et s’envole. Un uppercut bien placé qui fracasse la gueule de mon adversaire. Son corps s’envole dans les airs sous l’impact. La riposte a été clairement véhémente. La chute est lourde après un vol plané de quelques secondes. Le corps de mon adversaire ne s’en remet pas. Ses yeux deviennent vitreux et sa gueule laisse échapper un filet de bave sanguinolent. En un seul mouvement, le natif de Tanderphora était hors d’état de nuire. Un sale hybride qui en avait pris pour son grade. Tout comme ses hommes, d’ailleurs. Car un nombre monstre de corps inertes parsemaient le sol autour de moi. Le responsable que vous vous demandez ? Bibi, bien entendu.
- Nettoyez ça.
Malgré ma voix calme, le ton est plutôt impérieux. Les soldats s’mirent. Ils hésitent un instant. Puis ils finirent par me rejoindre avec leurs armes. Pour ma part, je sortis une clope. L’un de mes hommes m’approcha et l’alluma rapidement. Sans daigner le regarder ou même le remercier, je pris la direction de notre moyen de transport. Retour aux sources. Derrière moi ? C’était des pétarades. Rien que des coups d’feux. Ces bons chiens finissaient le travail que j’avais commencé, tout simplement. Me salir les mains, c’était pas vraiment mon truc, hé. Aussi leur laissais-je effectuer cette besogne à chaque fois que nous nous rendions sur le terrain pour la gloire de Moncoohn. Gloire qui m’importait peu, quand j’y repensais. Moi j’n’étais qu’une machine (Au sens figuré du terme, on s’entend). Un pantin qui ne faisait qu’exécuter les ordres d’en haut, histoire de s’faire de la tune pour bouffer et se faire une pute de temps en temps, en passant. Ouais. Une pute, ça fait du bien parfois. Et pas robotisée, non non non. J’eus alors un sourire narquois, avant de grimper dans l’engin qui nous avait envoyé sur place. Mes soldats s’activèrent. Après avoir achevé la troupe de Tanderphora qui fouinait dans le coin, ils montèrent à leur tour dans l’engin qui fit vite de décoller. Direction notre chère ville, après une énième mission d’extermination. La routine quoi. Ouais. Car nous n’étions que des pions, finalement. De la chair à canon, même. Pas bien loin des rebuts de notre grande civilisation quand j’y repense. Chienne de vie, j’vous jure.
Alors que notre vaisseau arrivait bientôt à la base militaire de Moncoohn, je me perdis un moment dans mes pensées. Plus précisément vers celles de mon passé. Passé chaotique, s’il en est. Effectivement, j’avais vécu dans la misère étant petit. Mon père était illustre inconnu, puisqu’il avait été un client de ma mère. Mère qui n’était autre qu’une péripatéticienne de la périphérie de la ville. D’aussi loin que je me souvienne, cette femme n’avait pas été particulièrement aimante avec moi. Pire. J’étais son souffre-douleur. Son punching-ball attitré. D’ailleurs, la plupart des cicatrices qui recouvraient mon corps n’était autre que l’une de ses nombreuses œuvres. Beaucoup de personnes croyaient qu’ils s’agissaient « exclusivement » de cicatrices de guerre, mais il n’en était rien. Puis je me souvins d’une soirée où après une énième bastonnade, cette même mère me vendit à un scientifique peu scrupuleux. Scientifique qui vint pour la toute première fois dans la périphérie chercher un « rat de laboratoire ». Il m’amena avec lui dans ses quartiers et ne tarda point à m’implanter plusieurs puces dans le corps, contrôlées par une plus grosse fixée dans mon cerveau. Ces bijoux de la nanotechnologie m’octroyèrent mon pouvoir actuel. Une potentialité plutôt démentielle. Puis les tests sous la tutelle du scientifique se succédèrent. Pas moins de cinq années. Cinq rudes années où j’avais fini par devenir le chef d’œuvre de ce scientifique. Acharné dans son travail, mais pas nécessairement mauvais comme ma salope de mère. Tout du moins c’est ce que je croyais. Mais j’étais loin du compte…
C’est précisément lors de mon adolescence que celui que j’avais fini par considérer comme mon père me livra aux autorités. Le cœur empli de fierté, Raziel (C’était son prénom) me présenta comme étant son succès le plus retentissant. Pour faciliter ses expériences sur mon corps et les tests que j’avais régulièrement passés avec lui, ce type m’avait couvert de cadeaux et d’une chaleur humaine que je n’avais jamais connue avec ma mère. Qui plus est, nous nous étions installés tous deux dans un loft situé en plein cœur d’un quartier résidentiel. Quoi de mieux que de telles actions et un tel cadre pour manipuler un gosse en manque d’affection ? Ouais. Ce type m’avait mené par le bout du nez, et pas qu’un peu. Me rendant compte de la supercherie, je voulus répliquer. Tous les tuer jusqu’aux derniers ! Mais j’étais encore trop faible. Bien trop faible face aux soldats présents dans la salle où l’on me présentait comme une simple bête de foire. Une nouvelle fois encore, l’on m’échangeait comme un objet sans importance, sans valeur. C’est alors que Raziel me força à faire une démonstration grâce à des commandes externes qui imposaient des équations (des ordres, pour être plus clair) à la puce implantée dans mon cerveau. Bluffés par mon potentiel, les hautes pontes de l’armée gratifièrent Raziel d’une place dans leurs rangs ; tandis que l’on m’emmenait au sein même de la gigantesque base militaire de la ville, pour un lavage de cerveau plus ou moins efficace. Désormais, j’appartenais corps et âme à la faction militaire de Moncoohn. Pas mieux qu’un robot en fait…
- Nous sommes arrivés, capitaine !
Retour à la réalité. Je chassai ces souvenirs et fit un peu d’ordre dans mon esprit. Toujours avec cette élégance et cette froideur qui me caractérisait, je descendis du vaisseau, avant de me retrouver face au gigantesque édifice qu’était la base militaire de la ville de Moncoohn. Un soupir s’extirpa de mes fines lèvres. « La maison » était d’un chiant pour moi, vraiment. Une vague de nostalgie refit surface dans mon cœur avec l’effet d’un coup de poing encaissé en pleine tronche. Moi qui ne voulait plus me rappeler de mon passé chaotique pour la journée, autant dire que c’était raté. De quoi me renfrogner. Les souvenirs affluèrent encore dans mon esprit. Les premières étaient celles de mes années d’entrainements en tant que nouveau jouet de cette organisation militaire. Je me rappelai donc des bizutages, corvées et autres supplices que j’avais dû endurer avant de gravir les échelons. Ouais. J’en avais bavé pour finir là où j’étais. Mais d’une manière ou d’une autre, ces connards de supérieurs avaient réussi à me faire embrasser leur idéal : Exterminer Tanderphora. Ces gens, je ne les détestais pas particulièrement, non. Mais plutôt que de me retourner contre les miens ou de m’exiler au risque de finir lamentablement en pâté pour chiens, les guerriers de la faction ennemie étaient pour moi des défouloirs. Tout simplement. Les affronter revenait donc à me défouler. Ce pourquoi j’avais l’habitude de tabasser l’ennemi moi-même, avant de demander aux chiens qui me servaient d’hommes de mains de finir le sale boulot à ma place. Ce pourquoi j’avais même refusé le poste de commandant plusieurs fois de suite.
- Bon boulot comme d’habitude, mon cher petit.
Mon attention est captivée par la voix d’un vieil homme. Celui-ci se présente à moi sourire aux lèvres. Le vieux Raziel en personne, venu me féliciter comme à l’accoutumé. Avec cet air perpétuellement satisfait. Ouais. Satisfait de son bijou. Et ce bijou-là, c’était moi : Le capitaine Raziel Jr Pas pour rien que j’affirmais ne pas être mieux qu’un robot. Malgré ma chair. Malgré mon libre-arbitre. Chienne de vie, j’vous jure. J’acquiesce de la tête et le dépasse sans cérémonies. Le vieil homme habitué à ma froideur ne se déconcerte point. Pire, il me suit et commence à me poser des questions. La routine, je dirais. Les réponses de ma part sont courtes et sèches. Jusqu’à ce que j’arrive à mes quartiers et que je réussisse à m’isoler enfin. Pire qu’une plaie, ce vieux crouton. J’aurai pu le buter depuis longtemps maintenant, mais à quoi bon ? Ce geste ne gommerait en rien mon passé. En rien, ouais. Après un énième soupir, je passe à mon bureau et m’attèle à faire mon rapport. C’est plutôt gavant, mais quand on n’a pas le choix… La rédaction dudit rapport dure alors trente minutes. Peut-être même une heure. J’sais pas trop et je m’en fiche un peu. Et puis, quelques temps plus tard, me voilà à errer dans les rues, à contourner des bâtiments et à m’arrêter devant un bordel. Mon seul réconfort sur cette Terre dirons-nous. Encore une autre sorte d’échappatoire pour oublier la misère dans laquelle je patauge depuis ma tendre enfance. Une callipyge s’avance vers moi et me fait signe de la suivre. Mes lèvres s’étirent. Mon sourire en dit long. Cette soirée n’allait pas être si pourrie que ça, finalement.
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| | Sam 14 Sep - 16:45:00 | |
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Up !
Modif' effectuées. J'espère que c'est bon maintenant. =)
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| | | | Myresis R. Nassien'DrilHéritière du Trône Messages : 93  
| | Sam 14 Sep - 17:54:40 | |
| Héhé Bienvenue !  Ah parfait ! Du coup, en prénom, je mets : Raziel Jr. Unilaseth ? =) |
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| | Sam 14 Sep - 18:31:56 | |
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| | | | Myresis R. Nassien'DrilHéritière du Trône Messages : 93
| | Sam 14 Sep - 23:35:49 | |
| Fiche validée  ! Amuse toi bien sur le forum ! |
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| | | | | | | Raziel Jr [Fiche terminée] | |
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