Amy Razbunare

Sam 22 Juin - 13:27:51

Présentation du Personnage

Nom : Razbunare
Prénom : Amy
Surnom : Amy
Sexe: Féminin
Âge : 20 ans

Plus en détails

Monde : Viens de Tanderphora mais vis à Moncoohn
Camp: Civil
Rang : II

Descriptions

Description Physique :
A votre avis, à quoi ressemble une jeune femme de 20 ans ? Et bien moi, je mesure à peu près un mètre soixante dix et je suis légère comme une plume. Mon visage fin et mon air angélique sont encadrés d'une chevelure noire légèrement ondulée qui repose sur mes épaules. Mes yeux noisettes sont mis en valeur par de grand cils noirs et mon teint légèrement bronzé. Un sourire est parfois présent sur mes lèvres mais la plus part du temps, mon visage est impassible.
Je ne porte que des vêtements dans lesquels je puisse bouger comme bon me semble. Souvent un pantalon et un débardeur mais aussi des jupes ou bien des robes.
Selon la longueur de mes cheveux et de l'activité que je fais, ils sont soit attachés en queue de cheval impeccable, soit détachés et reposant sur mes fines épaules.
Bien que j'ai l'air toute fragile, il ne faut pas sous estimer ma force. De plus, la seule chose qui ne me quitte jamais est mon collier avec le pendentif de ma mère et la bague de mon frère. Ce bijou ne quitte jamais mon cou.
Description Mentale :
Après le physique, le mental. La première chose à dire est que je suis une jeune femme très mystérieuse, personne ne me connait, ne sait qui je suis. En plus de cela, je ne montre pas mon vrai visage. J'ai deux facettes.
Pour tout le monde, je suis une gentille jeune femme, prête à aider les citoyen de sa ville et est plutôt assez discrète. Bien que je ressemble à ange, je ne me laisse pas marcher sur les pieds et je sais affirmer mes idées lorsqu'il le faut. J'ai aussi un petit coté peste que je fais sentir quand quelque chose ou quelqu'un ne me plait pas.
Pourtant, en vérité, je suis loin d'être un ange. Une personne animé par la vengeance serait plus qualifiée de démon. J'ai appris à manipuler les gens et à me servir d'eux pour arriver à mes fins. Je ne ressens pas la peur et la rage qui se trouve au fond de moi m'empêche de baisser les bras. De plus, je n'ai pas peur de mentir en regardant les personnes droit dans les yeux.
Dans les deux cas, je sais être extrêmement patiente. N'ayant plus foie en l'amour et ayant peur des dégâts qu'il pourrait causé lors de ma vengeance, j'ai décidé de ne plus jamais m'attacher à quelqu'un. Et surtout pas à un Moncoohn.
Autre: La mort de ma famille m'a profondément changé et bien que je ne pense pas que l'amour soit une bonne chose, c'est ce qui me motive. Pour vouloir se venger, il faut s'être attacher à une chose ou à une personne. Donc la vengeance est guidé par l'amour.
Je sais parfaitement me battre à main nu, manier un arc ou bien une épée. Et je ne compte pas rester sans rien faire, il reste encore tout un tas de chose à apprendre pour tuer son prochain.

Le passage par l'Arbre d'Origine

Mutation : J'avais toujours redouté ce moment, la mutation ayant peur de devenir une chose totalement inhumaine. Après avoir décidé ma vengeance, me transformer ne me semblait plus une chose si terrible. D'ailleurs, je savais parfaitement ce que j'allais choisir. Le jour de mon passage dans l'arbre, j'y avais été sur de moi. Je n'avais pas peur de ce qui pouvait arriver. Je priais de toute mes forces pour devenir une simple humaine et rester tel que j'étais. Durant la mutation, je m'étais sentie défaillir. Et pourtant, en ressortant de ma transformation j'étais tel que je l'avais demandé. Je m'étais examinée sous toutes les coutures, mon corps était parfaitement normal. Tout comme mes capacités.

Avis sur l'Âge dans lequel nous vivons

L'Arbre trône depuis des centaines d'années, que pensez-vous de lui ? Qu'on ne peut pas vivre sans.
Quels sont d'après vous, les avantages que possède Tanderphora pour combattre l'ennemi ? L'amour de la ville, les habitants de Tanderphora donnerait leur vie pour leur ville.
Si vous deviez être sur le trône, que feriez-vous ? J'exterminerais tous les habitants de Moncoohn.
Après la chute du gouvernement, plusieurs clans ont quitté la Cité pour devenir autonomes, que pensez-vous de cet exode ? C'est une bonne chose s'ils peuvent se défendre.
Si un nouveau peuple venait à faire son apparition, quelle serait votre réaction ? Tout dépend du peuple.
Seriez-vous prêts à vous allier avec vos ennemis pour lutter contre une seule et même menace ? Peut être
Si vous deviez vivre chez votre ennemi pour une mission d'infiltration, comment agiriez-vous ? Je tenterais de ne pas me faire remarquer.
Seriez-vous prêt à vous sacrifier au nom de votre Cité ? Non
Si l'un de vos ennemis vous menaçait, seriez-vous capable d'abattre l'un de vos amis contre votre propre survie ? Non
La paix serait-elle envisageable ? Non

Présentation du Joueur

Prénom/Surnom : Lu
Âge : 17 ans
Niveau Rp: Pas trop mauvais mais à vous de me dire !
Comment avez-vous trouvé ce forum ?: Autour d'un verre !

Sam 22 Juin - 13:28:07

Chapitre 1 - "Je te retrouverai... Quoi qu'il arrive... Je te retrouverai toujours."

N'importe qui penserait que voir le jour dans une ville où la guerre fait rage depuis des décennies est une terrible chose. Et pourtant, ma naissance fut l'un des plus beaux jours pour mes parents. Pour eux la famille était le cadeau le plus précieux que pouvait posséder un homme. L'amour disait-il était la plus puissance forme de pouvoir, quand l'amour guidait nos actes, rien ne pouvait nous résister. Et je ne me souviens pas un seul instant avoir manqué d'amour au sein de mon enfance. Quand j'y repense, je me souviens des mots que me répétait mon père tous les jours avant de partir travailler. J'avais peur pour lui, je ne supportais pas de le savoir dehors, loin de nous et à la merci de la mort. Je me souviens qu'il me prenait dans ses bras, que sa main caressait ma joue et que son front se posait contre le mien. Mes yeux se fermait toujours à ce contact et ses murmures me rassuraient. "Je te retrouverai.. Quoi qu'il arrive.. Je te retrouverai toujours.", ces simples mots représentaient pour moi un promesse que je savais sincère. Jamais mon père ne m'aurait abandonné, ni moi, ni le reste de notre famille. Je croyais en ce pouvoir de l'amour et je savais que j'y croirais toujours.
Alors que nous étions pas bien grand, nous avions suivis mon père un matin. Alors qu'il s'apprêtait à sortir de la ville, nous le rattrapions. Totalement paniqué, il ne savait plus du tout quoi faire. Il nous expliqua qu'il allait rejoindre des amis à l'extérieur de la ville (nous apprîmes plus tard que c'est "amis" était en réalité un groupe qui vivait à l'extérieur de la ville).

Contrairement à d'autre petite fille, j'aimais le danger et je n'avais pas peur de me battre pour ce que je voulais. Personne n'avait jamais touché mon frère et jamais personne n'oserai. Je savais que j'étais exactement comme mon père, près à donner ma vie pour ceux à qui je tiens. L'une des choses que je faisais le plus souvent c'était de partir hors de la ville, chose qui rendait complètement fou d’inquiétude mes parents. Et j'étais pourtant rentrer sans jamais être blessée. Une fois que mon frère eu grandit un peu plus, c'est lui qui me protégea et qui partit à ma place en dehors de la ville. Moi j'avais décidé d'être plus sage et je restais en ville avec des personnes de mon ages qui hors de chez moi était comme ma seconde famille. En passant du temps dans la ville, je m'éloignais de ma famille mais même si je ne passais tout mon temps avec eux, je savais que quoi qu'il arrive je pourrai toujours les retrouver et inversement.

Bien que je sois moins rebelle et que je quittais moins la ville, il n'en restait pas moins que j'adorais aller en dehors de Tanderphora. J'y retrouvais ou allais souvent en dehors de cette dernière accompagnée de mon jumeau. Ces sortie en dehors des limites étaient nos moments à nous et que personne ne pourrait jamais m'enlever. Prendre cette habitude de fuguer avec mon frère quelques heures fut aussi ma plus grosse erreur.

Lorsque je fermais les yeux, je revoyais encore et encore mon plus récent souvenir avec mon frère et mes parents à l'extérieur de la ville. J'avais pris de l'avance et mon frère devait me retrouver. Nous n'avions pas convenu de lieu de rendez vous mais je savais qu'il saurait où me trouver. J'étais grimper dans un arbre et je fixais la ville d'acier qui n'était au final pas si loin de nous que cela. Je me demandais sans cesse pourquoi Tanderphora et Moncoohn devaient se faire face ainsi alors que j'étais persuadée que vivre en communauté ne serait peut être pas si difficile. Après tout, j'étais certaine que nous n'avions pas tant de différence que cela. Mon regard perdu dans le vague, je n'avais plus aucunes sensations, ni le vent dans mes cheveux, ni l'écorce du bois sous mon corps, plus rien. Ce fut la voix de mon frère qui me sortit de mes pensées. "Encore entrain de rêvasser Am' ?" Je tournais la tête vers la voix qui venait de s'adresser à moi, je vis mon frère appuyé sur le tronc de l'arbre sur lequel j'étais assise. Un sourire aux lèvres. Mes lèvres aussi virent formé un rictus adorable pour toute réponse. Je sautais de mon perchoir et prit mon frère dans mes bras. Je ne connaissais personne dans la ville qui ait une complicité comme la notre, cela devait peut-être être dû au fait que nous étions jumeaux. Comme à notre habitude, nous nous assîmes sur le sol et nous discutâmes de tout et de rien. Des éclats de rire venaient parfois ponctuer nos conversations. Le parfait bonheur en plein milieu d'une guerre. Nous n'avions pas peur d'être là, nous savions que nous n'étions pas seul, que les "amis" de mon père ne se trouvaient pas très loin. Alors que j'avais la tête posé sur les cuisses de mon frère, j'entendis nos prénoms au loin. Je reconnaissais la voix de mes parents. Une fois redressée, je croisais le regard de mon protecteur et pus lire dans ses yeux le même étonnement qui devait se trouver dans les miens. Nous marchions vers les voix qui nous appelaient, une fois à leur rencontre, le nombre de reproches qu'ils nous firent furent comme un coup. Nous savions qu'ils étaient mort d'inquiétude de nous savoir dehors mais jamais ils n'avaient réagis ainsi. Après avoir rassuré nos parents, nous reprîmes le chemin de la maison comme si rien ne venait de se passer. Alors que tout était normal, tout bascula.

Chapitre 2 - "On dit que les rêves... Que les rêves sont les souvenirs d'une autre vie."

"Papa ! Non..." A mon cri, mon frère se retourna pour voir ce qu'il se passait. Il posa ses yeux d'abord sur mon père et je vis des larmes couler le long de ses joues. Il couru vers moi et me souleva pour que je reprenne à courir mais rien n'y faisait, je n'avais aucune force dans les jambes. Voir mon père mort dans les bras de ma mère me tétanisait. Ma mère aussi était incapable de bouger et pourtant en voyant le meurtrier de mon père, elle lui sauta à la gorge. Celui là fut égorger mais un autre apparu et liquida ma mère. Mon frère me tirait de toute ses forces pour fuir avant que ce soit notre tour. "Am' si tu ne bouges pas on va mourir aussi !" Je ne l'avais jamais vu paniquer et cela me fit reprendre mes esprits nous nous mîmes à courir comme des fous vers Tanderphora. Dans notre course, Luka se tordit la cheville et n'arrivait plus à courir. Il me suppliait de ne pas l'attendre mais il était hors de question que je le laisse derrière moi. Maintenant, nous entendions les meurtriers de nos parents non loin de nous. Sans réellement comprendre ce qui m'arrivait, je fus projetée sur le coté. Ma tête heurta un rocher et j'entendis un simple "On se retrouvera" avant de sombrer dans le néant.

Lorsque mes yeux se rouvrirent, je me trouvais entouré de plantes, je me relevais doucement en tentant de remettre mes idées en place. En me souvenant de ce qu'il s'était passé, les larmes me montèrent au yeux. Alors que je m’apprêtais à sortir du trou dans lequel j'étais tombée, je vis passer tout un tas d'homme avec des armures. J'attendis quelque instant avant de sortir de ma cachette. Je reprenais le chemin de Tanderphora, les larmes coulant le long de mes joues. En arrivant dans la ville, des habitants se précipitèrent vers moi et me parlèrent. Seulement, je n'entendais rien, je revivais la scène dans ma tête encore et encore. Je continuais d'avancer sans voir ceux qui tentaient de m'arrêter. Une fois rentrée dans ma maison, je regardais tout autour de moi, mes larmes coulèrent d'autant plus et je laissais éclater ma rage. Je détruisais tout ce qui passait sous ma main sans même prêter attention a ce que c'était. Je tombais finalement au sol d'épuisement et m'endormie à force de pleurer.

Quand je me réveillais, je me trouvais dans une chambre qui m'était inconnue. Je regardais autour de moi et chercha simplement une chose que je pourrais reconnaître. Une jeune femme entra dans la pièce et me sourit. "Tu es enfin réveillée, tu as dormi deux jours." Je m'assis dans le lit et bu une gorgée de ce qu'elle me tendait. "Qui es tu ?" La jeune femme semblait étonnée par ma question mais ne tarda pas à me répondre. "Une amie de ta mère. Pourquoi es tu dans un tel état ?" Je posais la tasse sur la table de nuit et me mordit la lèvre sentant les larmes revenir. Je ne regardais plus la jeune femme et fixa la ville d'acier que je voyais par la fenêtre. "Ils les ont tués... Tous.. Sous mes yeux..." A ma phrase la demoiselle laissa ce qu'elle tenait en main. Je ne décollais pas mon regard de la fenêtre sentant la colère monter en moi au fur et à mesure que mon regard parcourrait les tours de la ville d'en face. Je me levais brusquement et retourna chez moi sans un mot pour la femme qui avait pris soin de moi.

Une fois de retour dans ma maison, je regardais tout les dégâts que j'avais fais deux jours plutôt. Des meubles étaient renversés, des objets cassés ou brisés au sol. J'entrais dans la chambre de mes parents et attrapais un pendentif qui avait appartenu à ma mère. Mon père le lui avait offert il y avait à peine quelque jours. Je le passais autour de mon cou et le serra dans ma main. Je filais ensuite dans la chambre de mon frère et ajouta au collier une bague que portait souvent mon frère. Je pris ces pendentifs dans l'une de mes mains et les regarda avant que les larmes ne coulent à nouveau.

Après la mort de mes parents et de mon frère, Miranda, l'amie de ma mère me prit chez elle et s'occupa de moi. Avant d'accepter la mort de ma famille, je suis passée par de nombreuses phases. La première dura des mois, le chagrin. Je pleurais nuits et jours et ne dormais seulement quand mes pleurs m'avaient exténuée. Ensuite, le dénis. Je refusais de penser que jamais je ne retrouverais ma famille, cette phase là ne dura pas longtemps, Miranda ne pouvait plus supporter de me voir ainsi et me força à aller dehors et regarder cette ville d'acier (sans m'en approcher bien entendu). Puis la phase du mutisme. Ce passage dura plusieurs années. Je ne disais plus rien et sortais à peine de ma chambre. Je savais que pour Miranda, me voir comme cela était une torture. Elle m'avait recueilli et avait prit soin de moi. Ce ne fut qu'à l'age de 18 ans que j'acceptais le fait que je ne reverrais plus mon frère, mon père et ma mère. Quatre ans avaient passé.

Chapitre 3 - "Je ne veux pas que ma souffrance disparaisse, aussi terrible qu'elle soit... Je tiens à ma souffrance. Elle fait de moi ce que je suis."

Je rêvais souvent du dernier jour que j'avais passé en compagnie de ma famille. Je rêvais de la manière dont j'aurais pu éviter leur mort. Et chaque fois, je me réveillais les larmes aux yeux et en panique. Sauf cette fois là, je m'étais réveillée en sursaut mais aucune larmes, aucune peur, juste de la colère. C'est à ce moment précis que je compris que j'étais seule. Cette nuit là, je m'étais levée et avait regardé fixement les tours d'acier par ma fenêtre. J'étais restée ainsi jusqu'au petit matin et ce fut Miranda qui me sortie de mes pensées en m'apportant mon petit déjeuné comme elle le faisait depuis quatre années maintenant.

"Je ne veux plus être la petite pleurnicharde qui a perdu ses parents Miranda." Le son de ma voix fit tressaillir la jeune femme. Cela pouvait être déroutant étant donné qu'elle n'avait plus entendu ma voix depuis près de deux ans. Pendant toute la nuit, j'avais réfléchis au moyen de me sentir mieux et le seul qui est revenu en boucle dans mon esprit avait été la vengeance. "Je me vengerais quoi qu'il m'en coûte, ils payeront pour m'avoir volé ma famille." Après mes mots, je me tournais vers Miranda, je la vis pâlir. Je ne disais pas ça simplement parce que j'étais énervée, et ça elle l'avait bien compris. Je comptais réellement me venger et il ne voudrait mieux pas être sur mon passage.

Quelque jours après cette décision, j'avais totalement changer, autant physiquement que mentalement. Avec cette tragédie, la seule personne qui me reliait encore avec Tanderphora était Miranda. Il n'y avait plus rien qui me retenait ici mis à part elle. Et ma transition. Pour que je sois stabilisée, il fallait absolument passer par l'arbre et comme je devais attendre encore pour mettre mon plan à exécution, j'en peaufinais tous les détails. Lorsque ce fut mon tour de passer par l'arbre, j'avais hâte alors que Miranda, elle était affreusement inquiète. Depuis que je lui avais parlé de vengeance, elle avait peur à chaque fois que j'entreprenais quelque chose.

J'avais demandé à l'arbre de me rendre humaine. En rentrant, Miranda se jeta sur moi et fut heureuse de constater que je n'avais pas changé. Mais le fait que je fasse mes valises ne la rassura pas du tout. J'étais décidé à partir à Moncoohn et rien ne pourrait m'en empêcher. "Ton père voulait la paix entre nos deux villes et toi aussi, tu ne parlais que de ça tu te souviens ?" "Oui, et c'était une erreur, ils sont sanguinaires et sans cœur." "Amy.. Comment comptes tu te venger d'autant de monde seule ? Tu vas te faire tuer.." "Je suis humaine donc personne ne saura que viens d'ici. Une fois dans la ville, je ferais en sorte de me rapprocher de ceux qui les ont tuer et une fois à proximité.. Je les détruirais de l'intérieur ainsi que tous ceux qui seront sur mon passage." Je savais que mes mots lui faisait peur mais plus rien ne pourrait m'arrêter maintenant. Et de toute façon, je n'avais plus rien à perdre alors il fallait que j'y aille. Après avoir dis adieu à Miranda, je sortis de la ville pour ne jamais y revenir.

Depuis, je vis dans les montagnes à proximité de Moncoohn. Je m'y rend régulièrement et cela ne choque personne de me voir traverser les rues de la ville. Bien que je sois seule, j'ai toujours l'impression d'être observée. Je savais que certains groupes vivaient à l'extérieur des villes. Je n'aimais pas vraiment cette sensation mais depuis mon installation, il ne m'était rien arrivée alors que vivre seul à l'extérieur était pratiquement impossible. Je soupçonnais donc qu'un groupe ne vit pas très loin d'ici et qu'il veille sur moi. Après mon départ, j'avais décidé de me débrouiller seule, de ne m'attacher à personne mais Miranda avait raison, se venger seule d'une ville est beaucoup plus compliqué que je ne le pensais. Mais même si je mets des années à y arriver, je ne laisserais jamais tomber. Je vis désormais pour ma souffrance et ma vengeance, elles font de moi ce que je suis.

Dim 23 Juin - 13:54:02

Bienvenue sur les Guerres d'Origine Amy !
Tu as un mois pour finir ta fiche !
Si tu as des questions n'hésite pas à nous contacter

Dim 23 Juin - 17:52:45

Merci !
Je pense qu'avec tes conseils, je ne devrais pas avoir trop de mal ! Merci encore Very Happy

Mar 2 Juil - 12:47:55

J'ai finis ! Si quelque chose ne va pas, dites moi et je change ça rapidement !

Mer 3 Juil - 11:18:13

Petit message pour te dire de ne pas t'inquiéter, on se charge de ta fiche Wink

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